Lady Gaga, fan de Bare Fine Jewelry

Dries Criel a récemment fait la une des médias avec sa création pour Lady Gaga. En effet, c’est avec une bague BARE Fine Jewelry, le label de Dries, que la star a mis le feu aux poudres lors du Pride Weekend de New York. Rencontre avec le jeune créateur qui a imaginé cette pièce unique.

Comment expliquez-vous qu’une star de l’ampleur de Lady Gaga se soit adressée à un jeune créateur belge ?

Tout s’est passé de manière inattendue et assez rapide. Il y a quelques mois, lors d’un événement, je suis tombé par hasard sur son styliste, Tom Eerebout – qui est également belge. Je portais moi-même une pièce de la collection Signet II et il y a vu une bague pour Lady Gaga. Il a donc emporté avec lui, à New York, quelques modèles de cette ligne pour les montrer à Lady Gaga. Apparemment, elle a eu un vrai coup de coeur.

Sa bague est une pièce unique, créée spécialement pour elle. Comment avez-vous procédé ?

Notre collaboration a tout de suite été harmonieuse. Nous nous sommes très vite mis d’accord sur le design de la bague.J’ai imaginé pour Lady Gaga une variante de la bague existante en travaillant avec une autre combinaison de couleurs et en la sertissant de diamants bruns. La bague est réversible : d’un côté, elle est gravée du logo Haus of Gaga et, de l’autre côté, elle est sertie de diamants.

Diriez-vous qu’il s’agit d’une création typiquement BARE ?

Je pense que c’est une bague qui a un certain impact. Par sa force de caractère et son côté rock’n’roll, elle est très évocatrice. Avec ses lignes pures et nettes, on voit tout de suite qu’il s’agit d’une bague BARE. Enfin, c’est un modèle unisexe, ce qui est aussi très BARE et totalement en phase avec le style de Lady Gaga.

Que signifie pour vous le fait qu’une star mondiale comme Lady Gaga porte un de vos bijoux?

Cela a été pour moi un énorme boost. Dessiner un bijou pour une star de son calibre est non seulement excellent pour mon portfolio, mais cela laisse également des traces. La presse belge, entre autres, était en ébullition. Cela nous a aussi valu des articles à l’international, ce qui est formidable pour l’image de BARE. Cerise sur le gâteau, toute cette attention se traduit également en chiffres de vente.

Cette aventure aura-t-elle une influence sur vos projets à venir ?

Certainement, car la bague a eu son petit effet jusqu’aux Etats-Unis. L’objectif premier de BARE est de grandir à l’international. Nous avons l’intention de développer notre marque ailleurs dans le monde et de proposer nos bijoux aux meilleurs détaillants. Chez des bijoutiers mais aussi dans des boutiques de mode et des flagship stores. Grâce à sa présence dans nombre de pays européens, BARE jouit déjà d’un rayonnement international. L’étape suivante, pour nous, ce sont les Etats-Unis. La bague de Lady Gaga va certainement nous y aider.