Blush, Lab-grown diamonds

Les diamants de culture, dits aussi de laboratoire ou de synthèse, ne datent pas d’hier. Ni même d’avant-hier ! Ce qui est nouveau, en revanche, c’est leur succès grandissant auprès des bijoutiers et des consommateurs belges.

Blush fait son apparition sur le marché belge de la bijouterie. Les bijoux de la marque en or 14 carats et diamants de laboratoire se vendent extrêmement bien sur un marché pourtant traditionnellement attaché à l’or 18 carats et aux diamants naturels. Alors comment expliquer le pouvoir d’attraction de ses bijoux ?

Voici une dizaine d’années, la marque Blush a décidé de passer à l’or 14 carat. Ce choix s’est révélé fort judicieux et a permis de constater que les consommateurs étaient effectivement prêts au changement, en tout cas lorsque l’esthétique et la qualité vont de pair. L’histoire se répète aujourd’hui avec le diamant de culture. « En l’espace de trois mois à peine, nous avons vu les bijoutiers obtenir d’excellents résultats de vente », assure Eric Niehot, la force motrice derrière Blush.

Diamants de culture : l’avenir étincelant du marché belge du bijou

Avec des tarifs compris dans une fourchette de 400 à 1000 euros, Blush a comblé un manque sur le marché belge. Ces prix stratégiques séduisent des consommateurs qui, sinon, ne se seraient pas forcément laissés convaincre par l’achat d’un bijou. La réaction ne s’est pas fait attendre : les bijoutiers constatent dès à présent une nette remontée des ventes, bien loin du tassement qu’ils craignaient. Les consommateurs se sont rapidement laissés convaincre par le pouvoir d’attraction des diamants de culture, à l’instar de grandes marques horlogères, comme Breitling notamment. C’est ainsi que les diamants de laboratoire ont su se tailler une place enviable sur le marché du bijou.

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